Synthèse en français, dann Synthesis auf Deutsch
Thème 1 :
Disposer de compétences en matière de créativité devient de plus en plus important. Les caractéristiques d’un être humain ne sont pas celles d’une machine. (Technologies vs êtres humains)
Modératrice : Ino Maria Simitsek
INTERVENTION DE CLOTURE DE LA PHASE I ET TENTATIVE DE SYNTHESE
Excellent ! Considérons l’outil Internet et établissons un parallèle avec la bouteille de Coca-Cola de la vidéo « The Gods must be crasy » (merci Lydia !).
Bien que les dérives d’Internet soient connues, nous, les « anciens » (ceux qui ont vécus sans l’Internet) ne pouvons nous contenter de marcher jusqu’au bout « de notre monde » afin de jeter par dessus bord ce que nous considérons ne pas lui appartenir.
La nouvelle génération, la « Net Gen » (merci Raymond !) utilise le Web pour construire ses liens sociaux et par conséquent pour apprendre et acquérir des connaissances. Nous sommes à l’ère du Web 2.0, du Web social !
Ce que nous pouvons encore faire, c’est de penser notre transmission à la « Net Gen ». Une transmission qui permettrait à la « Net Gen » de « passer de connaissance à éducation » (merci Johann !). Education qui mènerait à faire des choix appuyés, à discerner ce qu’il « faut refuser, au lieu de s’accommoder de tout » (merci Charles !) ; éducation aux valeurs d’une société ( « questions de l’ éthique »), éducation ouverte aux aspects de « l’échange culturelle » (merci Hanna !) ; éducation où la technologie est « un outil cognitif » qui favorise la créativité (merci Daniel !) ; éducation où « créativité et maîtrise technique » vont de paire (merci Bernard !) ; éducation qui développe un esprit critique (merci Alan !) etc.
A nous de faire le tri, d’imaginer la suite…
Cependant, vous le présenté aussi dans vos interventions:
« En arrière-plan à cette discussion, il y a bien quelque chose comme des « choix de société » et des questions liées à la démocratie. »
« Une fois que les objectifs de productivité seront atteints, aurons-nous amélioré comme nous le souhaitons notre société ? »
il est à encore trop tôt pour nous, de parler « Education » (objet du 2cd Forum).
En effet, l’éducation est celle des citoyens, des membres d’une société. Il est donc important d’examiner quels pourraient être les impacts sur la société (les défis comme les opportunités) de ces technologies qui se massifient, se généralisent et évoluent à une vitesse sans commune mesure avec celles des êtres-humains ?
C’est cette réflexion que je vous propose de poursuivre dans la phase II de ce 1er Forum. Passons ensemble, dès aujourd’hui, de « Technologies vs Etres humains » à «Technologies vs Société » …
Votre modératrice. Version 14.02.2010
INTERVENTION DE CLOTURE DE LA PHASE II ET TENTATIVE DE SYNTHESE
Dans notre discussion sur les impacts des technologies sur la société, nous avons relevé de nombreux défis.
Le défi de faire des choix sociétaux sans se baser sur « un seul paramètre (souvent l’argent - l’économie), mais en conscience et responsabilité avec toute une série de valeurs dans la durée » (Raymond). Ce défi a aussi été perçu comme celui de veiller au « bien-être » de la collectivité ou de réussir le passage de l’individuel au collectif. Selon Phaedra, il s’agit non pas d’un défi technologique mais d’un défi social, d’un défi à la participation citoyenne. Johann lui a souligné, l’importance de faire la distinction entre concret et virtuel et de prendre en compte l’aspect de l’immatérialité de l’information.
L’importance de ne pas dissocier l’outil et la pratique mais de les voir comme un ensemble dans le contexte d’un groupe, nous a été souligné par Alan. Charles nous a rappelé le danger de tendre vers une société technocratique qui bafoue la démocratie. Nos interventions ont implicitement évoqué l’alternative de placer l’innovation technologique au service l’innovation sociale.
Nos interventions ont effleuré certains des domaines d’impacts des technologies, impacts transformateurs de notre société : l’environnement, le travail, la gouvernance, la sécurité, la sphère privée, l’éthique, la démocratie etc. Si dans notre analyse nous ne pouvons prétendre avoir toujours mobilisé les trois niveaux : le rapport à l’individu puis la communauté et enfin à la société ; nous avons certainement été convaincu de l’importance de le faire.
Un grand merci à chacun des participants !
Merci à tous (ceux qui écrivent comme ceux qui nous lisent) !!!
Je vous invite désormais à passer à l’action en proposant des mesures à prendre afin de faire face aux dangers et de ne pas passer à côté des opportunités des technologies face à la société ? Autrement dit comment anticiper le changement pour ne pas se laisser surprendre en 2030 ?
Votre modératrice. Version 14.02.2010
SYNTHESE DE LA PHASE III ET SYNTHESE GLOBALE DU FORUM 1
« Technologies et société, quelles sont les mesures à prendre afin de ne pas être surpris en 2030 ? » est la question que nous avons abordée dans la Phase III de ce Forum.
Notre discussion a tourné autour de deux sujets : l’éducation et la société de l’information.
L’éducation conditionne le développement de la société. Il est donc indispensable de prendre des mesures dans ce domaine. Le changement ayant acquis un caractère global et permanent, il devient nécessaire de spécifier les enjeux de la société de l’information de façon dynamique. Pour cela, il convient de développer les conditions à une participation citoyenne active et accrue.
Concernant les enjeux de de la société de l’information, il nous est apparu que les aspects devenus incontournables sont: l’e-Inclusion, les inégalités (tels que "learning divide", "imported culture", "gender inequities"), la gouvernance, l’e-Culture, l’éthique …
Il a été rappelé que la société de l’information est un concept qui a « acquis un caractère d’évidence, sans que les citoyens aient pu exercer leur droit à un vrai débat ». De plus, ce concept a donné naissance aux « mots du marché » venus réduire le « marché des mots ».
Ainsi, pour la société de l’information, les propositions suivantes ont été émises :
- Former à la e-Culture afin de réduire l’écart entre science (le numérique) et conscience, et sortir de la situation actuelle ou le numérique est utilisé : « avec peu de conscience (de ses enjeux sociétaux, notamment en matière d’équité des chances), et où les décideurs des tendances de l’e-société hors du libre et de la netneutralité se comptent en fonction des forces matérielles en jeu et non du mérite de leurs contributions immatérielles ».
- Créer des organismes « externes et indépendants » qui veillent à ce que les aspects de l’éthique et de l’e-inclusion soient pris en compte. Ceci en prenant garde à ce que « leurs critères et intérêts soient publiques, et surtout réajustables avec le temps et l’expérience. »
- A l’exemple des droits de l’homme à l’information et à la communication, reconsidérer la participation comme principe d’autocréation des citoyens et de la société, et examiner la place du droit de l’homme à la participation dans la société de l’information.
- Ne pas confondre danger et risque, apprendre à gérer le changement et notamment la vulnérabilité qui découle de toute introduction technologique afin d’offrir une alternative à la l’évitement et à la peur.
- Rétablir la place de la vérité dans notre société et dans l’éducation des jeunes (« virtualité vs. vérité »).
Concernant l’éducation quatre mesures fondamentales ont été proposées:
- « Faire de la réflexion sur l’éducation une priorité écologico-sociale. »
- « Rompre définitivement, dans l’éducation, avec les discours sur les compétences. »
- « Doter chaque élève en Suisse, dès 8 ans, d’un ordinateur portable. Organiser les apprentissages en fonction de cela. »
- Développer l’esprit critique et fournir aux jeunes : « les instruments de mesure permettant d’évaluer la vérité, la pertinence et le sens des choses auxquelles ils sont confrontés » (« virtualité vs. vérité »).
Ces propositions et ces mesures ne sont pas exhaustives. Cette phase fut riche en ressources citées en référence. Exploitées en profondeur, elles permettraient sans doute d’étoffer l’interdépendance qui s’est dégagée tout au long de notre discussion : celle entre l’éducation et les enjeux de la société de l’information. Dans une vision prospective, les tendances dégagées dans ce Forum ont été résumées dans la figure ci-dessous. Elle constitue l’aboutissement de ce Forum.
http://comict.ycampus.net/file.php/88/arbre-CC.jpg
Merci à tous pour votre participation !!!
Votre modératrice. Version 3.03.2010
Thema 1 :
Kreative Kompetenz wird immer wichtiger. Der Mensch ist, was die Maschine nicht ist.
Moderator : Willi Bernhard
"Kreative Kompetenz wird immer wichtiger. Der Mensch ist, was die Maschine nicht ist"
Verdeutlichung des Themas
Es geht um kreative Handlungen, wobei von vornherein klar ist, dass eine Maschine nicht kreativ sein kann, oder zumindest nur soweit, wie ein Mensch sie programmiert. Wenn man aber nur die Resultate von Handlungen anschaut, scheint es letztendlich keine Rolle zu spielen ob diese durch Nutzung menschlicher Eigenschaften, bestimmten Handlungsmethoden, oder maschinellem Support entstanden ist.
Bezugnehmend auf Klaus Haefner wird festgestellt, dass automatisiert wird, was ökonomisch sinnvoll automatisiert werden kann (http://beat.doebe.li/bibliothek/a00118.html); mit dem Zusatz, dass sich die Schule deshalb auf das Nichtautomatisierbare konzentrieren sollte (http://beat.doebe.li/bibliothek/a00119.html).
Anschliessend folgt ein Verweis auf Weizenbaum’s Buch "Sind Computer die besseren Menschen?" (pendo-Verlag Zürich 1990). Darin steht: "Es gibt keine übersinnlichen Ideen. Praktisch alle menschlichen Tätigkeiten, auch Dichtkunst und Komponiere, folgen Regeln und Massstäben, die wir an die Computer abtreten können. Und auch abtreten werden. Computer folgen den Regeln ihrer Programme. Die Kunst des Komponierens ist jedoch, solche Regeln im richtigen Moment zu brechen."
Es folgen Beispiele verschiedener Mensch Maschine Kombinationen:
Die Vision vom Michio Kakus Symbiose mensch & Computer (in seinem Buch Zukunftsvisionen) , welche für um 2050 stattfinden könnte
Digitale Kunst (http://crissxross.net/wilx/2009/06/07/remixing-at-epoetry-barcelona-2009/) und http://www.zkm.de/
Das Programm Ludwig, das selbständig komponieren kann http://www.komponieren.de/Komponist.htm
Abschliessend kommt eine Hypothese ins Spiel: Die emotional, kreative Unterlegenheit des Computers kommt daher, dass wir in Chips nur abbilden können, was wir als Menschen extrem präzise verstanden haben und formalisieren können. Dies ist zur Zeit beides weder für kreative noch für emotionale Intelligenz der Fall.
Die Hypothese lässt anschliessend folgende Bedenken zu:
- Der Computer wird auch als allgegenwärtiges interaktives Kommunikationsmedium verwendet (siehe z.B. iPhone) die unseren Alltag stark verändert.
- Neuronale Netzwerke können so trainiert werden, dass sie in spezifischen Bereichen genauere Resultate liefern als Menschen (z.B. beim Lesen von Postadressen) wo weder wir Menschen noch die neuronalen Netze selbst verstehen, weshalb wie entscheiden wird - und es funktioniert doch.
- Es bleibt offen, was geschieht, wenn ein neuronales Netzwerk mit Körper, mehr neuronale Verknüpfungen hat als das menschliche Gehirn. Diesen Punkt nennt man "Singularity Point" und wird Schätzungsweise in 20 bis 30 Jahren erreicht. (Ebenfalls zu finden im Buch the Singulyrity is near, von Ray Kurzweil.)
- Die Schweizerdeutsche Grammatik gehört zu einer eigenen Komplexitätsklasse (siehe Chomsky-Klassen), die von klassischen Computern nicht in sinnvoller Zeit analysiert und verstanden werden kann. Wer komplexe Schweizerdeutsche Grammatik verwendet, lernt mit komplexeren Strukturen umzugehen, als diejenigen von Computern und bildet somit Hirnstrukturen die der klassischen Logik und der Verarbeitung von linearen klassischen Computern weit überlegen sind. Mensch sein ist, was nicht Computer ist.
Mögliche Auswirkungen
Die Schaffung von Freiräumen, denn Kreativität braucht Freiräume. Durch das Vollpacken und die ständige Diskussionen um Lehrplan- und Leistungserfüllung (Pisa), scheint es, dass zu wenig Räume existieren für Kreativität. Ein wirkliches tiefes Verstehen von Inhalten braucht oft viel mehr Zeit als in der Schule zur Verfügung steht, auch einfache Seinszeit in der das Verständnis wachsen kann.
Ein weiteres Thema ist Presencing (aus presence und sensing), so nennt Scharmer diese Fertigkeit zur Entwicklung, von der sowohl eine Organisation als Ganzes als auch der einzelne Mitarbeiter persönlich profitiert. http://www.amazon.de/Theorie-Zukunft-Prescencing-soziale-Technik/dp/3896706799/
Ebenfalls erwähnt wird Haefners Versuch, Berufe bezüglich Informationstechnologie in drei Gruppen einzuteilen:
Autonome (sind jene Beschäftigten, denen es weiterhin gelingt, ihre Arbeiten im wesentlichen ohne Informationstechnik und ohne intensiveren Informationszugriff auszuführen) , Substituierbare (gehören alle jene, deren Tätigkeiten unmittelbar von der Informationstechnik derart betroffen werden, daß sie - unter Berücksichtigung einzelwirtschaftlicher Interessen - in Zukunft nicht mehr für den alten Beruf gebraucht werden.) und Unberechenbare (sind jene, die die in informationstechnischen Systemen verfügbare Information und technische Informationsverarbeitungsleistung intensiv nutzen.)
Die Übergänge scheinen allerdings fliessend zu sein. Nicht alle Berufsfelder werden gleich rasch und intensive durch die neuen Technologien verändert. Ebenso wird festgestellt, dass das Bildungswesen hinter der technischen Entwicklung hinterher hinkt, was keinesfalls als negativ bewertet werden muss: Neue Technologien werden von findigen Köpfen entwickelt, vielfach noch ohne klare Vorstellung, wozu sie genutzt werden könnten. Dies zeigt sich dann, wenn meist andere findige Köpfe diese zu nutzen beginnen. Diese beiden Gruppen gehören zu den "Trendsettern" - early birds. Das Bildungswesen hat vor einer breiten Einführung zuerst die neuen Tools zu evaluieren - was Zeit braucht (followers).
Es kann auch nach Meinung von Experten wie z.Bsp. Richard Florida (Carnegie Mellon University, Pittsburgh) davon ausgegangen werden, dass das berufliche Umfeld in Richtung "Kreativ Klasse" geht, mit einer radikal neuen Einstellung zur Arbeit, noch mehr Stress, aber auch viel mehr Freiheit.
Deren wesentlichen Eigenschaften sind:
+ verdient ihr Geld überwiegend mit unterschiedlichen Leistungen, statt im Wesentlichen immer dasselbe zu tun
+ übt im Laufe des Lebens mehrere Berufe aus
+ das Einkommen variiert um mehr als +/- 30% im Jahr
+ der zeitliche Aufwand zum Üben, Trainieren und Weiterentwickeln eigener Fähigkeiten beträgt mehr als 50% der Zeit, in der tatsächlich Geld verdient wird.
Inwiefern die Schule auf solche Herausforderungen eingeht und in welchem Tempo dies geschieht bleibt jedoch offen. Ein Hinweis, in welche Richtung die Zivilisation geht, ist wurde hier gegeben: In erster Linie gehören dazu soziale Fähigkeiten wie die Fähigkeit, sich in andere hineinversetzen zu können sowie einen liebevollen Umgang mit Menschen, Tieren, Pflanzen und generell Dingen zu entwickeln. Diesem Thema ist eine zurzeit vielbeachtete Publikation gewidmet. Der Präsident der Foundation on Economic Trends, Jeremy Rifkin - er referiert am 10.2. am GDI - postuliert in seinem Buch "Die empathische Zivilisation. Wege zu einem globalen Bewusstsein", dass die menschliche Schlüsselkompetenz im Einfühlungsvermögen liege. Dieses bildet das soziale Kapital, gelegt in "starken Gemeinschaften". (Buchbesprechung in NZZ, 2.2.2010, Feuilleton). Er schreibt die ganze Zivilistationsgeschichte neu, die nach ihm eine Geschichte der Zunahme und Ausdehnung von Empathie ist.
Mögliche Massnahmen
Zunächst wird eine Perspektive für folgende inhaltliche Umgestaltung der Schule vorgeschlagen:
+ Kurzfristig (nächste 20 Jahren) sollte mathematischer Unterricht auf einen informatischen Unterricht umgestellt werden (da Informatik konkreter erfahrbar ist und wesentlich nicht nur eine statische sondern auch eine prozesshafte Sicht in das logisch-rationale Denken bringt).
+Langfristige Vorbereitung für die Einführung von emotionaler Bildung.
+ Im Bereich der Erwachsenen-Bildung (ab ca. 25 Jahre) ist die Entwicklung eines ICH-ICH’s (Zeugenbewusstsein, Beobachter 2ten Grades) zur wesentlichen Grundausbildung anzustreben. (Siehe Stufen der Persönlichkeitsentwicklung von Susanne Cook-Greuter).
http://www.amazon.de/Die-empathische-Zivilisation-globalen-Bewusstsein/dp/3593385120/ref=sr_1_3?ie=UTF8&s=books&qid=1263565614&sr=8-3
http://www.cook-greuter.com/Enrichment&Resources.htm
Ebenso wird nicht nur für Spielraum für Kreativität im engeren Sinne sonder für Seinsfreiraum im weiteren Sinne plädiert. Minimal strukturierte Freiräume auch in der einzelnen Lektion, wo sich Gedanken sortieren können. Geistige frei Räume neben der Enge des Alltags.
Ein weiterer Vorschlag wurde durch folgende Fragestellung gegeben: Wie wäre es, wenn der Versuch unternommen würde, ein Netz des pädagogischen Kontextes zu schaffen, innerhalb derer sich pädagogische Handlungen abspielen?
Auch die Sicht, dass alles automatisiert wird, was automatisierbar ist, scheint mnicht unumgänglich zu sein, also weder zwingend noch in allen Fällen optimal und bedarf einer differenzierteren Diskussion.
Auch auf das Problem des Entwicklungstempos gibt es einen Vorschlag: Es braucht Foren, in welchen die neuen Bildungstrends evaluiert werden und Empfehlungen abgeben können, damit im Bildungswesen überlegte followers das Schritttempo angeben: bedacht, aber nicht so bedächtig langsam, wie wir dies heute erleben.
Beim Thema Lernen und Computer wurde als generelle Massnahme eine zum Lernen passende Aufgabenteilung zwischen Mensch und Computer vorgeschlagen:
+ Der Computer sollte Routine-Aufgaben übernehmen ("Taschenrechner")
+ Dem Menschen bleiben all die vielen "un-gewöhnlichen" Aufgaben, die den
Lernprozess eigentlich ausmachen ("Ergebnis des Taschenrechners reflektieren, überprüfen") denn ein Lernprozess ist vor allem:
+ ein bewusster (reflexiver) Prozess
+ ein kreativer Prozess
+ ein selbstgesteuerter Prozess
+ ein konstruktiver Prozess
+ ein situativer Prozess
+ ein sozialer Prozess
+ ein identitätsstiftender Prozess
+ und natürlich vieles mehr
Dies alles kann der Computer nicht, er könnte aber als ’enabler’ nützlich werden, d.h. Unterstützung bieten, damit der Lernende diese Aspekte der Lernprozesse verwirklicht.
Version 23.02.2010