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Synthesis of Forum 5
Wednesday 14 April 2010
by Raymond Morel
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Synthèse en français, dann Synthesis auf Deutsch

 

Thème 5 :

« Googlelisation et Facebook, xing, etc. »

Modérateur : Alan McCluskey

D’abord un grand merci à toutes celles et tous ceux qui ont participé à cette première semaine de Forum 5.

Synthèse Phase 1 : Que comprenons nous par le titre ?

Le titre du forum en français : « Googleisation et Facebook, Xing, etc. » laisse une place considérable à l’imaginaire de chacun. Dans le forum en allemand Marc a ajouté un titre plus circonscrit : « Quel rôle jouent Google, Facebook, etc. dans le paysage de l’éducation ? » Dans le forum en français la discussion a été plus ouverte. Beaucoup des contributions portaient soit sur les outils (accès, durabilité, fonctionnalité, ouverture du code, ...) soit sur les usages et comment ceux-ci changent et se développent (par exemple la place de la mémoire ou l’impact de la culture) soit sur le va-et-vient entre les possibilités et les limites de l’outil et le développement des usages.
En filigrane, en rapport avec l’éducation, on perçoit une tension possible entre d’un côté une approche qui cherche à enseigner des usages existants dont le choix est dicté par un cursus prédéterminé, ce qu’il faut savoir et de l’autre côté une approche à un niveau méta qui vise à développer et à comprendre le développement des usages. Cette tension correspond à deux visions de l’école, une qui dicte le chemin à suivre contre une qui s’adapte aux élèves.

Une autre opposition sous-tend la discussion. Elle peut être résumée par la question : qui dicte les usages des outils ? Est-ce que ce sont des intérêts commerciaux dominants (que certains voient comme synonyme de manipulation et de subjugation) ou la voix d’une citoyenneté participative (qui est donnée comme une idéale vers laquelle il faut tendre) ? Est-ce que ce sont les outils eux-mêmes (suivant les thèses de Marshal McLuhan) ou les usagers ou le contexte qui dicte les usages ? Ou encore, selon les dernières approches scientifiques, est-ce que l’usage n’est-il pas le résultat d’un va-et-vient continuel entre les possibilités de l’outil (le travail des créateurs d’outils) et les besoins et l’inventivité des utilisateurs ?

Synthèse Phase 2: Quels sont les effets et les impacts de l’usage massif du web dit social sur l’éducation et son futur ?

Quels sont les effets et les impacts de l’usage massif du web dit social sur l’éducation et son futur ? Telle est la question que nous nous sommes posés en quatre parties : des pratiques innovantes ; le rapport utilisateurs/créateurs d’outils ; le rapport pratiques/contexte ; et les impacts sur la société. Il faut reconnaître que ce questionnement dépasse de loin les moyens et le temps dont nous disposions dans ce forum. En tenant ce fait à l’esprit, voici un synthèse des points discutés.

1. Des pratiques innovantes émergentes

Dans les façons de faire actuelles y a-t-il des pratiques prometteuses qui offrent ou suggèrent des possibilités radicalement nouvelles d’aborder l’apprentissage individuel ou en groupe?

Il est intéressant de constater que les quelques exemples avancés se situent plutôt dans un champ d’apprentissage plus large que celui de l’école.

  • La nouvelle pratique de partage de connaissances sur le web qu’est le social bookmarking dans le domaine de l’éducation (Michèle donne l’exemple de DIIGO)
  • Le partage sur le Web de référence bibliographique ainsi que des annotations et des commentaires sur des livres et des articles en dehors des contextes dans lesquels cela a lieu d’habitude.
  • La combinaison de multiples petites applications modulaires fournies par un système comme l’AppStore d’Apple et le tendance actuelle d’étendre le concept en y incluant d’avantages d’aspects des réseaux sociaux, par exemple, avec des recommandations des utilisateurs concernant les Apps.
  • Des communautés qui partagent et créent des outils pour l’enseignement comme le WolframDemonstrationsProject. Ce projet, en moins de 3 ans, a réuni une vaste communauté et mis en pratique un esprit de collaboration exemplaire. Le résultat est disponible pour tout internaute : mode_d’emploi.


Il s’avère difficile de se limiter uniquement au Web social quand on parle des pratiques innovantes. On a tendance à parler aussi du Web Mobile et ses outils également. En voici un exemple :

  • Les nouveaux outils tactiles, comme le iPad, où la manipulation se fait largement par des mouvements, des gestes (on peut même donner des commandes en secouant l’appareil ou en le penchant dans un sens ou dans un autre) on va vers une approche de l’utilisation et de l’apprentissage qui fait davantage appel à des savoirs faires kinétiques.
  • L’application Wolfram|Alpha est disponible sur iPhone et iPad. Cette application donne accès à de vastes bases de données. Sa particularité est de pouvoir effectuer des «calculs» sur ces données et de pouvoir être interrogée en langage naturel. Elle ouvre de très intéressantes perspectives dans le domaine de l’enseignement et de l’apprentissage. Une communauté d’utilisateurs échange régulièrement sur WolframAlphaBlog.

2. Le rapport entre utilisateurs et créateurs d’outils

Quel impact le rapport entre utilisateurs et créateurs d’outils a-t-il sur notre capacité de faire usage des outils pour réaliser nos projets et satisfaire nos besoins?


  • Les procédés du développement de ressources ouvertes et libres (OER) sont donnés en exemple. Il s’agit d’une façon de concevoir et de créer des outils/artefacts qui met l’accent sur la collaboration (y compris avec les futurs utilisateurs).
  • Un autre aspect des ressources ouvertes et libres est leur positionnement face au marché traditionnel en refusant de limiter artificiellement l’usage des outils fabriqués sur le plan de la distribution et de la réutilisation. Cela pose des questions de financement.
  • Il y a également une opposition entre l’emploi du design des outils pour essayer de contrôler la façon dont ils sont utilisés et une approche qui consiste à aider les utilisateurs à développer leur propre façon d’utiliser les outils pour apprendre.
  • En ce qui concerne le retour des utilisateurs au sujet des outils, dans un cas concret autour de Moodle, les canaux de feedback ne sont pas toujours évidents et la communication des souhaits et des problèmes des usagers est parfois complexe et peut être mal comprise.

3. Le rapport entre pratiques et contexte

Quel est le rapport entre ces pratiques émergeantes et le contexte, voire la culture, dans lequel elles émergent, plus particulièrement le contexte éducatif?

  • Une des grandes questions sous-jacentes dans certaines interventions, et qui témoignent peut-être de différences de culture profondes mais aussi d’approches pédagogiques, est de savoir si oui ou non les étudiants et les élèves sont capables de développer leurs propres façons de travailler. Pour ceux et celles qui ne les croient pas capables il est clair qu’on ne devait pas faire confiance aux jeunes et à leurs façons de faire bricoler en ligne.
  • Pour tenter de répondre à cette question, il conviendrait d’expérimenter en autorisant l’accès à Internet durant les épreuves et les examens. Il faudrait bien sûr au préalable repenser en profondeur le type de questions à poser dans ces circonstances. Actuellement, en sciences par exemple, l’usage de calculatrices programmables est généralement interdit durant les examens au secondaire II.
  • Avec les outils actuellement disponibles, l’école pourrait offrir un soutien personnalisé en ligne ainsi que des devoirs interactifs (avec feedback et correction automatique). Moodle se prête particulièrement bien à cela.

4. L’impact de ces pratiques sur la société

Quelles évolutions, voire quelles ruptures, sont à prévoir à cause de ces nouvelles pratiques et ces nouveaux outils? Comment peut-on les évaluer?

  • L’utilisation massive du Web mobile pose un problème de distraction. Les notifications, par exemple, attirent notre attention ainsi que l’arrivée de courriels. C’est un problème de société, mais c’est aussi un problème en classe. Comment oeuvrer contre la distraction là ou une attention focalisée est nécessaire?
  • Il se peut que l’utilisation d’outils comme Google ait un impact sur notre approche de la mémoire et de la mémorisation et par ricochet sur la façon dont on doit enseigner.
  • Dans quelle mesure les usages développés sont efficaces et appropriés? La recherche montre, par exemple, que des façons de faire dites ‘multitâches’ des étudiant-e-s à l’université demandent davantage de temps, sans toutefois avoir un impact les résultats des tests.
  • L’école publique sera confrontée au problème de la certification. Dans le domaine des langues, cette certification lui a déjà en partie échappé. Qui décidera, à l’avenir, des aptitudes et connaissances nécessaires pour obtenir telle ou telle certification ? Comment ces aptitudes et connaissances seront-elles évaluées ? Par qui ?

Synthèse Phase 3: Des mesures à prendre

Une question de valeurs

Dans ce forum on nous demande de regarder vers l’avenir, de débusquer les tendances qui pointent vers un futur souhaitable en ce qui concerne l’éducation et l’utilisation du web social pour l’apprentissage. Un débat sérieux sur l’avenir ne peut pas avoir lieu si l’on n’évoque pas les valeurs sur lesquelles cet avenir est fondé. Implicitement, la question des valeurs surgit à chaque coin de rue de notre discussion.

De manière générale ses valeurs s’expriment en termes de buts et se trouvent dans la plupart de nos fora :

  • Encourager la diversité (de contenu, de perspectives, de méthodes, de culture, de langues, …) ;
  • Favoriser et développer la flexibilité de l’individu ;
  • Développer la capacité de gérer la complexité ;
  • Favoriser l’autonomie de l’apprenant qui va de paire avec un relâchement du contrôle de l’institution sur l’apprentissage ;
  • Responsabiliser l’individu face à son rôle dans la société ;
  • Combattre des inégalités ;
  • Donne priorité à l’être humain face à la machine et aux outils ;
  • Reconsidérer le système d’accréditation et de certification pour mieux pouvoir donner pleinement crédit aux apprenant pour ce qu’ils/elles ont appris, su faire ;
  • (…).

En ce qui concerne le web social il s’agit plus particulièrement de :

  • Favoriser les échanges qui mènent au développement de savoir et de savoirs-faires ;
  • Favoriser le sentiment d’appartenance à une ou des communautés ;
  • Attirer et retenir l’attention ;
  • Favoriser l’adoption de pratiques innovantes ;
  • (…).

Quelques actions

Le point de départ de tout changement est crucial. Il faudrait d’emblée interroger toute action proposée pour savoir dans quelle mesure elle correspond aux valeurs citées. Alors quelles actions faut-il entreprendre ? En voici quelques idées :

  • Aider à créer des communautés de pratiques d’enseignant-e-s en se servant des outils du web social pour partager des pratiques innovantes des outils dans l’apprentissage et l’enseignement, pour améliorer la compréhension des outils et des usages et pour aider à développer des usages nouveaux ;
  • Encourager le développement de micro applications pour le Web Mobile qui aident l’apprentissage en ligne. Avoir un lieu interactif comme l’App Store d’Apple muni d’une interface qui aide à trouver, comparer, procurer et commenter le ou les (micro-)outils dont chacun a besoin ;
  • Trouver une nouvelle approche à la recherche face à la complexité et à la vitesse de changement des phénomènes étudiés pour aider à comprendre collectivement et à temps les implications de ces outils. Une approche qui questionne les pratiques existantes ou potentielles, qui est basée largement dans l’expérience et le questionnement de l’expérience. Une approche qui permet aussi de connaître l’évolution des pratiques et des outils dans le temps. Une approche qui développe des concepts comme le PLE (Personal Learning Environment) pour faciliter et avancer la compréhension des utilisateurs.

5 mai 2010

 

Thema 5 : "GOOGLELISIERUNG UND Facebook, xing, usw.

Moderator : Marc Widmer


Neue Formen des Wissenserwerbs

Das Internet ist voll von Informationen, welche zu Wissen werden können - aber nicht zwingend werden müssen.
Die Aufgabe der Schule / Lehrpersonen ist es nun, den Lernenden Kompetenzen zu vermitteln, welche sie befähigen, diese Informationen aufzubereiten, zu bewerten und so in Wissen zu transferieren.
Als Chance des Web 2.0 wird die Möglichkeit, zu partizipieren genannt. Eigenes Wissen kann dargestellt fremdes aufgenommen werden. Dies führt dazu, dass jede/r Zugang zu einem fast unerschöpflichen Wissensspeicher hat. Um diesen Wissensspeicher Internet effektiv und effizient zu nutzen erfordert dies unterschiedliche Kompetenzen – angefangen beim Wissen wo und wie etwas gesucht wird bis hin zur Bewertung von Wissensquellen.
Durch die ständige Verfügbarkeit des Wissens ist es nicht mehr zeitgemäss, Stoff auf Vorrat zu „büffeln“, was aber nicht bedeutet, dass kein gewisses Grundwissen mehr vorhanden sein muss.
Die einfache Zugänglichkeit von Wissen lässt neue Ansprüche der Lernenden an die Ausbildenden entstehen – es ist einfacher als früher sich Meinungen zu bilden. Ausbildende werden vermehrt zu Coaches, welche den Auszubildenden durch ihre Erfahrungen und ihren reflektierten Umgang mit digitalen Medien überlegen sind jedoch nicht unbedingt fachlich. Durch die unterschiedlichen Kompetenzen von Lernenden und Lehrenden sind allenfalls neue Unterrichtsformen (z.B. Rollenwechsel, bei welchen die Lernenden über die Form mitbestimmen) einzuführen.
Ebenso wie ein Schulbuch Wissen vermitteln kann, kann dies auch durch eine Community geschehen. Lernen heisst nicht nur aufnehmen, sondern kommunizieren und vernetzen und die Tatsache, dass der Umgang mit digitalen Kommunikationsformen (scheinbar) mit Spass verbunden ist, sollte für die Unterrichtstätigkeit ausgenutzt werden.
Neue Kommunikationsformen (Facebook, Twitter etc.) dienen vermehrt der Meinungsbildung. Es wird aber in Frage gestellt, ob es (nur) um den Austausch geht oder ob vermehrt auch der „Sehen und gesehen werden“-Gedanke eine Rolle spielt.
Es wird auch die Frage gestellt, ob das Feld zunehmend kommerziellen Firmen (Facebook, Google –Google Docs, Apple -iPhone, Microsoft - MSN) überlassen wird, welche die beliebten Kommunikations- und Kooperationswerkzeuge bereit stellen? Und wenn ja, ob diese Entwicklung gut ist?



Problematik

Chancen und Gefahren liegen nahe beieinander, kommerzielle Firmen bieten ihre Dienste nicht gratis an – Nutzerinnen und Nutzer „bezahlen“ mit ihren Daten. Eine kritischer Umgang damit ist angebracht und sollte auch in der Ausbildung gelehrt werden. Dies kann jedoch nur geschehen, wenn diese Dienste in Bildungsinstitutionen auch genutzt werden.
Dabei gilt es aber zu bedenken, dass immer noch der Kunde über Erfolg oder Misserfolg der Datensammelstrategie der Konzerne entscheidet. Fühlt sich eine Mehrzahl der Nutzenden in ihrer Privatsphäre verletzt wird der Dienst gewechselt.



Open Source Software

Nebst dem Einsatz von Gratisdiensten kommerzieller Anbieter könnte Open Source Software eine Alternative zu gängigen Lösungen darstellen. Durch den Einsatz von OSS können Lizenzkosten eingespart werden.



Gedanken & Fragen

Warum werden Technologien, welche im Alltag und auch in der Wirtschaft („Social Media“ gilt als Buzzword in vielen Marketingabteilungen) häufig und gerne genutzt werden in der Schule nicht/ wenig genutzt?
Im Berufsalltag werden z.B. Wettbewerb, Konkurrenzkampf, Gewinnen, Unterliegen toleriert oder teilweise gar gefördert. Spiele, welche auf ähnlichen Prinzipien basieren – und Jugendliche aus diesen Gründen faszinieren - sind in der Ausbildung wenig verbreitet.
Wäre es eine Option, OSS oder Online-Dineste zu nutzen, um die Infrastruktur- und Supportengpässe in Schulen zu überbrücken?



Forderungen

  • Die Grundlage für einen vermehrten Einsatz von digitalen Medien im Unterricht müsste mit Lehrplänen gelegt werden.
  • Die Medienbildung gehört heute in die Grundausbildung. Dazu muss auch die Lehrer/innen-Ausbildung angepasst werden.
  • Vertrauen kommt mit dem sich kennen und achten. Problematische Inhalte im Internet können nicht aus der Welt geschaffen werden aber der richtige Umgang damit kann gelehrt/gelernt werden.
  • Schule hat auch einen gesellschaftlichen Integrationsauftrag, vermittelt Werte und Haltungen dazu braucht es Interaktionen die über facebook und twitter hinausreichen, diese neuen Kommunikationsformen gehören aber auch dazu.
  • Jeder entscheidet für sich wo digitale Hilfsmittel für das eigene Weiterkommen Sinn machen und darf sie auch nutzen.
  • Werden die Lernenden als Personen gestärkt?
  • Werden Fertigkeiten und Kompetenzen vermittelt, von denen wir annehmen können, dass sie von den Lernenden später gefordert werden?
  • In der Schule sollten persönliche Geräte genutzt werden dürfen.
  • Web 2.0-Kultur (Fehlertoleranz, Teilen von Meinungen und Wissen etc.) sollte in Bildungsinstitutionen übernommen werden
  • Ausbildungsstätten sollten sich mit den aktuellen (technischen) Entwicklungen auseinander setzen um Jugendliche auf das Berufsleben vorzubereiten. Was im (Berufs-)Leben nützlich ist, sollte durch die Schule vermittelt werden.

Lernplattformen

Kritiker von educanet2.ch stellen die Frage „Ist educanet2 heute noch "State of the Art"?“ Befürworter halten mit der Frage dagegen „Kann/muss educanet2 mit (kommerziellen) Plattformen mithalten können?“
Die Befürworter von educanet2 vergleichen es mit einem Schulzimmer. In einem geschützten Rahmen lernen Kinder und Jugendliche mit digitalen (Kommunikations-)Instrumenten umzugehen. Später können die erworbenen Kompetenzen im Leben / im Internet angewandt werden.
Skeptiker bemängeln dass educanet2 zu wenig fortschrittlich und zu träge bei der Weiterentwicklung ist. Stattdessen fordern sie den Einsatz von Open Source Plattformen wie Moodle, ILIAS etc.
Vorzugsweise könnten sich grosse Organisationseinheiten (Kantone, Schulen, Berufsverbände) für ein Produkt entscheiden und dieses möglichst in allen Bereichen (Volksschule, Berufs-/Kantonsschule, einsetzen.
Ein Zwang, die Lernplattform - wie auch immer sie heisst - einzusetzen sehen beide Parteien als kontraproduktiv. Das System soll durch seinen Mehrwert überzeugen.
Um aber in den Schulen Fuss fassen zu können, müssen angehende (und bereits ausgebildete) Lehrpersonen im Unterrichten mit digitalen Hilfsmitteln geschult werden. Shlussendlich ist aber nicht die Wahl der Plattform entscheidend, sondern die didaktischen Settings in welchen die digitalen Hilfsmittel eingebettet werden. Hier könnte ein (schweizweiter) Pool an Lerneinheiten zur Förderung der Medienkompetenz sinnvoll sein.

14. Juni 2010