Synthèse en français, dann Synthesis auf Deutsch
Thème 5 :
« Googlelisation et Facebook, xing, etc. »
Modérateur : Alan McCluskey
D’abord un grand merci à toutes celles et tous ceux qui ont participé à cette première semaine de Forum 5.
Synthèse Phase 1 : Que comprenons nous par le titre ?
Le titre du forum en français : « Googleisation et Facebook, Xing, etc. » laisse une place considérable à l’imaginaire de chacun. Dans le forum en allemand Marc a ajouté un titre plus circonscrit : « Quel rôle jouent Google, Facebook, etc. dans le paysage de l’éducation ? » Dans le forum en français la discussion a été plus ouverte. Beaucoup des contributions portaient soit sur les outils (accès, durabilité, fonctionnalité, ouverture du code, ...) soit sur les usages et comment ceux-ci changent et se développent (par exemple la place de la mémoire ou l’impact de la culture) soit sur le va-et-vient entre les possibilités et les limites de l’outil et le développement des usages.
En filigrane, en rapport avec l’éducation, on perçoit une tension possible entre d’un côté une approche qui cherche à enseigner des usages existants dont le choix est dicté par un cursus prédéterminé, ce qu’il faut savoir et de l’autre côté une approche à un niveau méta qui vise à développer et à comprendre le développement des usages. Cette tension correspond à deux visions de l’école, une qui dicte le chemin à suivre contre une qui s’adapte aux élèves.
Une autre opposition sous-tend la discussion. Elle peut être résumée par la question : qui dicte les usages des outils ? Est-ce que ce sont des intérêts commerciaux dominants (que certains voient comme synonyme de manipulation et de subjugation) ou la voix d’une citoyenneté participative (qui est donnée comme une idéale vers laquelle il faut tendre) ? Est-ce que ce sont les outils eux-mêmes (suivant les thèses de Marshal McLuhan) ou les usagers ou le contexte qui dicte les usages ? Ou encore, selon les dernières approches scientifiques, est-ce que l’usage n’est-il pas le résultat d’un va-et-vient continuel entre les possibilités de l’outil (le travail des créateurs d’outils) et les besoins et l’inventivité des utilisateurs ?
Synthèse Phase 2: Quels sont les effets et les impacts de l’usage massif du web dit social sur l’éducation et son futur ?
Quels sont les effets et les impacts de l’usage massif du web dit social sur l’éducation et son futur ? Telle est la question que nous nous sommes posés en quatre parties : des pratiques innovantes ; le rapport utilisateurs/créateurs d’outils ; le rapport pratiques/contexte ; et les impacts sur la société. Il faut reconnaître que ce questionnement dépasse de loin les moyens et le temps dont nous disposions dans ce forum. En tenant ce fait à l’esprit, voici un synthèse des points discutés.
1. Des pratiques innovantes émergentes
Dans les façons de faire actuelles y a-t-il des pratiques prometteuses qui offrent ou suggèrent des possibilités radicalement nouvelles d’aborder l’apprentissage individuel ou en groupe?
Il est intéressant de constater que les quelques exemples avancés se situent plutôt dans un champ d’apprentissage plus large que celui de l’école.
Il s’avère difficile de se limiter uniquement au Web social quand on parle des pratiques innovantes. On a tendance à parler aussi du Web Mobile et ses outils également. En voici un exemple :
2. Le rapport entre utilisateurs et créateurs d’outils
Quel impact le rapport entre utilisateurs et créateurs d’outils a-t-il sur notre capacité de faire usage des outils pour réaliser nos projets et satisfaire nos besoins?
3. Le rapport entre pratiques et contexte
Quel est le rapport entre ces pratiques émergeantes et le contexte, voire la culture, dans lequel elles émergent, plus particulièrement le contexte éducatif?
4. L’impact de ces pratiques sur la société
Quelles évolutions, voire quelles ruptures, sont à prévoir à cause de ces nouvelles pratiques et ces nouveaux outils? Comment peut-on les évaluer?
Synthèse Phase 3: Des mesures à prendre
Une question de valeurs
Dans ce forum on nous demande de regarder vers l’avenir, de débusquer les tendances qui pointent vers un futur souhaitable en ce qui concerne l’éducation et l’utilisation du web social pour l’apprentissage. Un débat sérieux sur l’avenir ne peut pas avoir lieu si l’on n’évoque pas les valeurs sur lesquelles cet avenir est fondé. Implicitement, la question des valeurs surgit à chaque coin de rue de notre discussion.
De manière générale ses valeurs s’expriment en termes de buts et se trouvent dans la plupart de nos fora :
En ce qui concerne le web social il s’agit plus particulièrement de :
Quelques actions
Le point de départ de tout changement est crucial. Il faudrait d’emblée interroger toute action proposée pour savoir dans quelle mesure elle correspond aux valeurs citées. Alors quelles actions faut-il entreprendre ? En voici quelques idées :
5 mai 2010
Thema 5 : "GOOGLELISIERUNG UND Facebook, xing, usw."
Moderator : Marc Widmer
Neue Formen des Wissenserwerbs
Das Internet ist voll von Informationen, welche zu Wissen werden können - aber nicht zwingend werden müssen.
Die Aufgabe der Schule / Lehrpersonen ist es nun, den Lernenden Kompetenzen zu vermitteln, welche sie befähigen, diese Informationen aufzubereiten, zu bewerten und so in Wissen zu transferieren.
Als Chance des Web 2.0 wird die Möglichkeit, zu partizipieren genannt. Eigenes Wissen kann dargestellt fremdes aufgenommen werden. Dies führt dazu, dass jede/r Zugang zu einem fast unerschöpflichen Wissensspeicher hat. Um diesen Wissensspeicher Internet effektiv und effizient zu nutzen erfordert dies unterschiedliche Kompetenzen – angefangen beim Wissen wo und wie etwas gesucht wird bis hin zur Bewertung von Wissensquellen.
Durch die ständige Verfügbarkeit des Wissens ist es nicht mehr zeitgemäss, Stoff auf Vorrat zu „büffeln“, was aber nicht bedeutet, dass kein gewisses Grundwissen mehr vorhanden sein muss.
Die einfache Zugänglichkeit von Wissen lässt neue Ansprüche der Lernenden an die Ausbildenden entstehen – es ist einfacher als früher sich Meinungen zu bilden. Ausbildende werden vermehrt zu Coaches, welche den Auszubildenden durch ihre Erfahrungen und ihren reflektierten Umgang mit digitalen Medien überlegen sind jedoch nicht unbedingt fachlich. Durch die unterschiedlichen Kompetenzen von Lernenden und Lehrenden sind allenfalls neue Unterrichtsformen (z.B. Rollenwechsel, bei welchen die Lernenden über die Form mitbestimmen) einzuführen.
Ebenso wie ein Schulbuch Wissen vermitteln kann, kann dies auch durch eine Community geschehen. Lernen heisst nicht nur aufnehmen, sondern kommunizieren und vernetzen und die Tatsache, dass der Umgang mit digitalen Kommunikationsformen (scheinbar) mit Spass verbunden ist, sollte für die Unterrichtstätigkeit ausgenutzt werden.
Neue Kommunikationsformen (Facebook, Twitter etc.) dienen vermehrt der Meinungsbildung. Es wird aber in Frage gestellt, ob es (nur) um den Austausch geht oder ob vermehrt auch der „Sehen und gesehen werden“-Gedanke eine Rolle spielt.
Es wird auch die Frage gestellt, ob das Feld zunehmend kommerziellen Firmen (Facebook, Google –Google Docs, Apple -iPhone, Microsoft - MSN) überlassen wird, welche die beliebten Kommunikations- und Kooperationswerkzeuge bereit stellen? Und wenn ja, ob diese Entwicklung gut ist?
Problematik
Chancen und Gefahren liegen nahe beieinander, kommerzielle Firmen bieten ihre Dienste nicht gratis an – Nutzerinnen und Nutzer „bezahlen“ mit ihren Daten. Eine kritischer Umgang damit ist angebracht und sollte auch in der Ausbildung gelehrt werden. Dies kann jedoch nur geschehen, wenn diese Dienste in Bildungsinstitutionen auch genutzt werden.
Dabei gilt es aber zu bedenken, dass immer noch der Kunde über Erfolg oder Misserfolg der Datensammelstrategie der Konzerne entscheidet. Fühlt sich eine Mehrzahl der Nutzenden in ihrer Privatsphäre verletzt wird der Dienst gewechselt.
Open Source Software
Nebst dem Einsatz von Gratisdiensten kommerzieller Anbieter könnte Open Source Software eine Alternative zu gängigen Lösungen darstellen. Durch den Einsatz von OSS können Lizenzkosten eingespart werden.
Gedanken & Fragen
Warum werden Technologien, welche im Alltag und auch in der Wirtschaft („Social Media“ gilt als Buzzword in vielen Marketingabteilungen) häufig und gerne genutzt werden in der Schule nicht/ wenig genutzt?
Im Berufsalltag werden z.B. Wettbewerb, Konkurrenzkampf, Gewinnen, Unterliegen toleriert oder teilweise gar gefördert. Spiele, welche auf ähnlichen Prinzipien basieren – und Jugendliche aus diesen Gründen faszinieren - sind in der Ausbildung wenig verbreitet.
Wäre es eine Option, OSS oder Online-Dineste zu nutzen, um die Infrastruktur- und Supportengpässe in Schulen zu überbrücken?
Forderungen
Lernplattformen
Kritiker von educanet2.ch stellen die Frage „Ist educanet2 heute noch "State of the Art"?“ Befürworter halten mit der Frage dagegen „Kann/muss educanet2 mit (kommerziellen) Plattformen mithalten können?“
Die Befürworter von educanet2 vergleichen es mit einem Schulzimmer. In einem geschützten Rahmen lernen Kinder und Jugendliche mit digitalen (Kommunikations-)Instrumenten umzugehen. Später können die erworbenen Kompetenzen im Leben / im Internet angewandt werden.
Skeptiker bemängeln dass educanet2 zu wenig fortschrittlich und zu träge bei der Weiterentwicklung ist. Stattdessen fordern sie den Einsatz von Open Source Plattformen wie Moodle, ILIAS etc.
Vorzugsweise könnten sich grosse Organisationseinheiten (Kantone, Schulen, Berufsverbände) für ein Produkt entscheiden und dieses möglichst in allen Bereichen (Volksschule, Berufs-/Kantonsschule, einsetzen.
Ein Zwang, die Lernplattform - wie auch immer sie heisst - einzusetzen sehen beide Parteien als kontraproduktiv. Das System soll durch seinen Mehrwert überzeugen.
Um aber in den Schulen Fuss fassen zu können, müssen angehende (und bereits ausgebildete) Lehrpersonen im Unterrichten mit digitalen Hilfsmitteln geschult werden. Shlussendlich ist aber nicht die Wahl der Plattform entscheidend, sondern die didaktischen Settings in welchen die digitalen Hilfsmittel eingebettet werden. Hier könnte ein (schweizweiter) Pool an Lerneinheiten zur Förderung der Medienkompetenz sinnvoll sein.
14. Juni 2010